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Par Anonyme, le 18.12.2024
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Par Anonyme, le 08.11.2024
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Par Anonyme, le 06.01.2024
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Par Anonyme, le 20.12.2023
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Par Anonyme, le 25.11.2023
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Date de création : 18.11.2009
Dernière mise à jour :
01.11.2019
13 articles
PLAN
INTRODUCTION
I-CARACTERES GENERAUX
II-PARTICULARITES ANATOMIQUES ET BIOLOGIQUES
1-Tégument et mue
a-Tégument et mue
b-Pigmentation et changement de couleurs
2-Glandes venimeuses et venins
a-Les reptiles venimeux
b-La toxicité du venin
3-Reproduction chez les reptiles
a-Dimorphisme sexuel et reconnaissance des sexes
b-Accouplement ,fécondation et ponte
c-Nidification et incubation
4-Lomotion.
CONCLUSION
INTRODUCTION
Les reptiles font partir de la superclasse des tétrapodes. Ce sont des vertébrés à respiration pulmoné, à tégument recouvert d’écailles kératinisées, à température variable. Cette classe de reptiles compte de nombreux sous-odres.Certains n’ont plus qu’un intérêt paléontologique.Parmis les reptiles qui vivent encore à notre époque, on distingue trois grands sous-groupes :les Squamates comprenant les serpents et les lézards, les Chéloniens comprenant les tortures et les Crocodiliens comprenant les caïmans et les alligators. Ces reptiles présentent de nombreux caractères physiologiques et anatomiques qui feront l’objet de nos études.
I-CARACTERES GENERAUX
Les reptiles vivent dans les eaux douces, les océans, sur terre et dans l’air. Ils se nourrissent essentiellement de grenouille et de mammifère et d’insectes, fruits, feuilles. Les reptiles pratiquent une locomotion ondulante ou reptation. Le crane est complètement ossifié et repose par un seul condyle occipital sur la colonne vertébrale qui comprend 5 régions bien distinctes : cervicale, dorsale, lombaire, sacrée et caudale. L’excrétion est assurée par les reins de type métanéphros. La respiration est pulmonaire. L’appareil digestif comprend la bouche, l’œsophage, estomac, l’intestin et l’anus. La reproduction est sexuée. La majorité des espèces sont ovipares. Il existe également des espèces ovovivipare et vivipare.
II-PARTICULARITES ANATOMIQUES ET BIOLOGIQUES
1-Tégument, mue et pigmentation
a- Tégument et mue
Les reptiles possèdent une peau presque toujours recouverte d’écailles épidermiques cornées et kératinisées. Le nombre et la disposition des écailles constituent un critère systématique. Parfois on observe le développement de formations osseuses dermiques dans la peau, ce sont des ostéodermes formant la carapace des tortues ou les plaques des crocodiliens.
La mue, phénomène périodique caractérisée par le renouvellement de la peau, favorise chez les reptiles la croissance.
Le déterminisme des mues est lié à tout un ensemble de facteurs complexe de nature mal connue. Mais l’action endocrinienne conjuguée de l’hypophyse et de la thyroïde parait plus ou moins certaine. La mue n’est pas un changement de peau comme on l’entend de façon simpliste. La mue existe chez tous les reptiles, mais elle est surtout visible et importante chez les Ophidiens. Les reptiles muent en fonction de la rapidité de leur croissance, qui dépend de la fréquence de leur alimentation permettant le renouvellement de l’épiderme non extensible. Selon l’âge et la croissance de l’animal, la mue doit se faire au moins 3 à 10 fois par an. Plus l’animal est jeune et grandit rapidement, plus les mues sont fréquentes.
b- Pigmentation et changement de couleurs
La pigmentation de la peau des reptiles est une interaction de cellules pigmentaire particulière ou chromatophores. On distingue quatre types au moins de chromatophores :
- Les anthophores ou lipophores qui donnent les couleurs rouge, jaune et verte en lumière transmises.
- Les allophores qui donnent la couleur rose et le violet.
- Les Guanophores ou leucophores contenant des cristaux de guanine, donne du blanc réfringent sous l’effet de la lumière.
- Les Mélanophores à granulation noires de mélanine dont la concentration ou la dilatation provoquent respectivement l’assombrissement ou l’éclaircissement de la peau.
Le mécanisme du changement des couleurs ou mimétisme homochromique est très développé chez les caméléons et quelques autres sauriens. Il est dû à un contrôle purement nerveux chez le caméléon hormonal, chez anolis mi- hormonal et mi- nerveux chez phrynosoma. Il est dû à des excitations de nature très variée physique (luminosité, température) ou physique (émotion, peur, colère etc.) qui modifie la structure des chromatophores d’où changement de couleurs.
2- Glandes venimeuses et venins
a-Les reptiles venimeux
La classe des reptiles est parmi les vertébré celle qui comprend le plus d’animaux venimeux. Chez les serpents venimeux en plus des dents portées par les mâchoires, on observe chez certains des crochets venimeux. Les Ophidiens sont classés d’après la forme, la structure et l’orientation des crochets. On distingue :
- Les aglyphes : sans crochets venimeux.
- Les opistoglyphes: crochets orientés vers l’arrière sur le maxillaire supérieur.
- Les protéroglyphes: crochets généralement sillonnés ou cannelés et orientés vers l’avant sur le maxillaire supérieur.
-Les solénoglyphes: crochet de grandes dimensions, canaliculés et orientés vers l’avant sur le maxillaire supérieur marquant ainsi l’apogée de la spécialisation en organe inoculateur.
b-La toxicité du venin des serpents
Les venins sont des sécrétions modifiées de certaines glandes. Glande salivaire (parotide) et les temporales notamment. Ils contiennent de toxines essentiellement protéiques avec des enzymes (d’où leur toxicité).Comme toxines nous avons; les neurotoxines, les hemotoxines, les anticoagulants, les coagulants. Le venin du serpent sert à tuer une proie, il sert également de pré-digestif, une fois injecté il aide à la digestion de celle-ci. La toxicité des serpents varie selon les espèces de serpents, la situation géographique, ainsi que son âge.
3- Reproduction chez les reptiles
Les reptiles sont presque tous gonochoriques et ovipares en majorité. La fécondation est interne, polyspermique précédée d’accouplement. Le développement post-embryonnaire est direct (sans métamorphose).
a-Dimorphisme sexuel et reconnaissance des sexes
Il touche principalement les caractères sexuels secondaires en rapport avec la morphologie, l’anatomie et l’éthologie.
b-Accouplement, fécondation et ponte
Chez les reptiles l’accouplement comporte deux phases : les préliminaires et la copulation proprement dite.
La fécondation est immédiate chez certains et retardée chez d’autres, les ophidiens notamment.
La ponte est généralement unique et annuelle chez la plupart des reptiles mais elle est fractionnée chez d’autres. La plupart des serpents ont un mode de vie solitaire et ne sont pas souvent en contact avec un partenaire sexuel qui leur convient. Pour augmenter leur chance de se reproduire, les serpents ont la capacité de retarder la fécondation après l’accouplement, les femelles pouvant mettre en réserve des spermatozoïdes. La plupart des espèces sont ovipares, certains sont ovovivipares, l’incubation des œufs ayant lieu à l’intérieur du corps de la mère.
Certaines espèces s’accouplent plusieurs fois avec le même partenaire mais dans la plupart des cas le mâle s’en va après s’être accouplé pour rechercher d’autres femelles. La femelle peut s’accoupler alors avec d’autres progénitures de plusieurs géniteurs différents.
Oviparité
Les serpents pondent leurs œufs dans les lieux susceptibles de fournir des conditions stables pour leur développement qui peut prendre jusqu’à trois mois. Certaines espèces creusent dans un sol sableux ou aménage une chambre d’incubation sous un rocher.
Ovoviviparité
C’est un mode de reproduction au cours de laquelle l’œuf issu de la fécondation est conservé au niveau de l’appareil génital femelle jusqu’à l’éclosion.
Dans la majorité des cas, les serpents ovovivipares mettent bas dans un endroit retiré en générale par temps chaud bien que la naissance ait parfois lieux en plein air, elle a été rarement observée.
Viviparité
C’est un mode de reproduction des reptiles dans lequel l’œuf achève son développement dans l’organisme maternel.
c-Nidification et incubation
L’incubation est la protection assurée aux œufs qu’elles soient pondues ou conservés au sein de la mère reptile.
La nidification est la construction des nids chez les reptiles ; donc la construction d’un abri.
L’incubation est de durée variable et les soins parentaux sont plutôt rares.
4- Locomotion
Ils existent des reptiles :
-rampeurs : espèces dépourvues de membres (ophidiens)
-reptiles semi-rampeurs et marcheurs : reptiles pourvues de membres (sauriens)
-la marche lente chez les chéloniens terrestres et les crocodiliens.
-nageurs grâce à leur queue plus ou moins aplatie latéralement ou membres crocodiliens, Lézards et varan et serpents marins (couleuvre à collier natix) grâce aux membres chez les tortures marines.
CONCLUSION
La classe des reptiles est constituée d’une gamme variée d’espèce .Chacune de ces espèces possède des traits caractéristiques qui lui est propre. Le mode de locomotion, de reproduction et le mode de vie sont des critères variant d’une espèce à une autre. Ces reptiles participent à l’équilibre dans l’écosystème par leur action sur les rongeurs , les insectes dont ils se nourrissent .Cependant le caractère venimeux de la majorité des reptiles comme les serpents fait de cette classe de vertébrés l’une des plus dangereuse.
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